9ème Keup
Poomse
Les deux poomses à connaitre sont :
Saru Chireugi (à gauche et à droite)
Taegeug Il Jang
La description complète se trouve dans
le fascicule du club ou dans la page
dédiée aux poomses.
Théorie
Dobok |
Tenue du taekwondoka |
Dojang |
Salle d’entraînement |
Jeja |
Elève |
Sabeum |
Professeur |
Sabeum nim |
Maître (de 4ième dan … 6ième dan) |
Kwan youg nim |
Maître (à partir de 7ième dan) |
Bande |
Contraire |
Baro |
Même côté |
Are |
Niveau inférieur |
Momtong |
Niveau moyen |
Eolgool |
Niveau supérieur |
Yeop |
Niveau latéral ( désigne donc les plans latéraux) |
Ap |
De face (donc les plans antéro-médians) |
REMARQUE :
Un coup de poing qui se donne du même côté que la jambe avant se dira « bande jireugi » car quand une personne marche, le bras qui est devant est toujours celui qui se trouve du côté du pied arrière. Donc, si une personne marche en ayant devant le bras du même côté que le pied avant, on peut dire qu’il se déplace dans le sens contraire au déplacement normal d’où bande, qui veut dire contraire.
Les coups de pieds
Vous pouvez retrouver des vidéos de l’ensemble des différents coups de pied pratiqué au taekwondo.
An naeryo chagi
Coup de pied écrasant partant du plan antéro-latéral vers l’antéro-médian : la jambe restant durant tout le mouvement en extension par rapport à la cuisse, la jambe part du plan inféro-médian, monte dans le plan antéro-latéral, se rabat dans le plan antéro-médian et retourne vers le plan inféro-médian en exerçant un coup de hanches vers l’avant.
Remarque : Le segment de travail : la cuisse. Frapper avec la partie médiale du pied (pyo jeuk).
Ap chagi
Coup de pied de face effectué dans le plan antéro-médian : lever la cuisse, la jambe étant en flexion sur celle-ci; étendre la jambe sur la cuisse, le pied étant en flexion par rapport à la jambe, les doigts de pied relevés. Retour par le chemin inverse.
Remarque : Le segment de travail : la jambe. Frapper avec la partie antéro-inférieure du pied (le bol du pied: apchook).
Apchaolligi
Coup de pied d’entraînement effectué dans le plan antéro-médian : la jambe restant durant tout le mouvement en extension par rapport à la cuisse, la jambe part du plan inféro-médian vers le plan supéro-médian pour revenir par le chemin inverse dans le plan de départ.
Remarque : Le segment de travail : la cuisse. On ne frappe avec aucune partie du corps car ce n’est pas un coup de pied d’attaque.
Bakkat naeryo chagi
Coup de pied écrasant similaire à An Naeryo Chagi. La jambe reste durant tout le mouvement en extension par rapport à la cuisse, la jambe part du plan inféro-médian, monte dans l’antéro-latéral opposé à la jambe qui travaille, se rabat dans le plan antéro-médian et retourne vers le plan inféro-médian en exerçant un coup de hanches vers l’avant.
Remarque : Le segment de travail : la cuisse. Frapper avec la plante du pied (baldadak) pour le mouvement technique. Frapper avec la partie postérieure du pied et du talon (dwitkoomchi) pour l’exercice de casse.
Bandal chagi
Coup de pied (du footballeur) effectué dans le plan antéro-latéral : lever la cuisse, la jambe étant en flexion sur celle-ci mais décalée dans le plan antéro-latéral; étendre la jambe sur la cuisse, le pied étant en flexion par rapport à la jambe. Retour par le chemin inverse.
Remarque : Le segment de travail: la jambe. Frapper avec la partie supérieure du pied (coup de pied : baldeung).
Dollyo chagi
Coup de pied circulaire (dollyo) partant du plan latéral vers l’antéro-médian: en faisant pivoter le pied d’appui de 180°, lever la cuisse, la jambe étant en flexion sur celle-ci dans le plan antérolatéral et parallèle au sol; étendre la jambe sur la cuisse, le pied étant en flexion par rapport à la jambe pour le coup de pied technique et en extension par rapport à cette même jambe pour le coup de pied destiné à la casse d’une planche. Retour par le chemin inverse.
Remarque : Le segment de travail: la jambe. Frapper avec la partie supérieure du pied (coup de pied: baldeung) pour le mouvement technique. Frapper avec la partie antéro-inférieure du pied (bol du pied : apchook) pour l’exercice de casse.
Positions fondamentales
Vous pouvez retrouver un descriptif complet de toutes les positions fondamentales dans la partie technique du site.
Naranhi seogi
Position d’attente, pieds parallèles, écartés d’une largeur de hanches, bras croisés dans le dos, mains ouvertes, la gauche sur la droite. Bien que sur la photo, les bras ne sont pas croisés dans le dos, c’est la position des pieds qui est ici la plus importante.
Naranhi seogi
Jounbi seogi
Même position que naranhi seogi mais avec les mains devants et distants de plus ou moins 10 à 15 cm du noeud de ceinture.
Jounbi seogi
Ap koubi
Grande position : jambe avant fléchie (+/- 90° par rapport à la cuisse), jambe arrière tendue, doigts des pieds vers l’avant, tronc perpendiculaire au sol, épaules de face. La longueur entre les deux pieds est de +/- 3 largeurs de hanches et la largeur entre ceux-ci est de +/- 1 largeur de hanches.
Ap koubi
Ap seogi
Idem qu’ ap koubi mais la longueur entre les 2 pieds est de +/- 1 largeur de hanches, ce qui réduit le fléchissement de la jambe avant sur la cuisse.
Ap seogi
Youchoum seogi
Position du cavalier au galop : les pieds sont parallèles; situés sur une même ligne et écartés de +/- 3 largeurs de hanches; les jambes sont fléchies par rapport aux cuisses (+/- 90°), les genoux prenant la direction des antéro-latéraux, les épaules bien de face et le tronc perpendiculaire au sol.
Youchoum seogi
Ki Bonn
Défense – makki
Are Makki
Défense au niveau inférieur : le poing du bras de défense vient à l’oreille opposée, la paume face à celle-ci; l’autre bras est tendu, dans le plan antéro-médian. Le bras de blocage descend le long de l’autre bras en effectuant une rotation du poignet, passant donc du plan latéral au plan antéro-médian. Il s’arrête lorsque le poing se situe à +- 15
cm au-dessus du genou de la jambe avant (la paume de la main est vers le bas).
Remarque : Le bras qui ne bloque pas passe du plan antéro-médian où il est tendu (paume de la main vers le bas) dans le plan latéral (pour le poing en tout cas) avec le poing à la ceinture, la paume de la main étant vers le haut (le poignet du bras qui ne bloque pas effectue donc aussi une rotation).
Eolgool Makki
Blocage au niveau supérieur : le poing de blocage vient se placer dans le plan latéral opposé, au niveau de la ceinture, la paume vers le haut. Le bras qui ne bloque pas est tendu dans le plan antéro-médian et va effectuer le même mouvement décrit dans la remarque ci-avant. Le bras de blocage passe alors du plan latéral dans la plan antéromédian (au niveau supérieur) en effectuant une rotation du poignet. L’avant-bras est alors en flexion sur le bras (+- 90°), le poing étant à +- 15 cm au-dessus de la tête, un peu en avant de celle-ci.
Bakkat palmoek momtong an makki
Blocage au niveau moyen effectué à l’aide de la partie médiane de l’avant-bras. Le bras de blocage part du plan latéral et se dirige vers le plan antéro-médian en effectuant une rotation du poignet. Pendant tout le mouvement, l’avant-bras est en flexion sur le bras (+/- 90°).
Remarque : Le bras qui ne bloque pas effectue le même mouvement que celui décrit pour les deux blocages précédents.
Attaque du poing – jireugi
Momtong jireugi
Attaque du poing au niveau moyen : Le poing part du plan latéral où il est à la ceinture, la paume de la main vers le haut, et se dirige vers le plan antéro-médian, cela en effectuant une rotation du poignet qui se termine à l’impact (la paume de la main se trouve donc maintenant dirigée vers le bas.
Remarque : Frapper avec les 3ièmes phalanges et les articulations métacarpophalangiennes de l’index et du majeur.